Des tensions record ont prévalu en Judée-Samarie ces dernières heures, à la lumière de la guerre qui fait rage dans le sud et de la crainte qu’elle ne s’étende également en Judée Samarie.
Netanyahu : « La guerre prendra du temps, mais nous vengerons ce jour noir »
Pendant la journée, la plupart des forces régulières qui opéraient à Yosh ont été remplacées par des réservistes, l’accent étant mis principalement sur une forte défense des routes et des mosavim. Pendant le shabath, plusieurs attaques ont eu lieu, qui ont été stoppées.
Un certain nombre de troubles violents se sont produits dans tout Yosh, mais les FDI en ont pris le contrôle et ils ne se sont pas répandus hors des villages. Il existe d’intenses tensions en Judée et en Samarie, ce qui a provoqué un certain nombre d’incidents graves qui, heureusement, n’ont pas fait de victimes. Lors de deux incidents distincts, les Israéliens ont tenté de mener des opérations « Un prix à payer » contre les Palestiniens. Dans l’un des incidents, des pierres ont été lancées sur des véhicules soupçonnés d’être des véhicules terroristes, alors qu’en réalité il s’agissait de véhicules israéliens. Les passagers ont failli être tués.
Terroristes en Israël, photo : AP
Près de la place Elias, près de Kiryat Arba, des hommes masqués se sont révoltés et ont affronté les forces de Tsahal en les aspergeant de gaz lacrymogènes. Un réserviste qui les a vus a cru qu’il s’agissait de terroristes palestiniens, a tenté de leur tirer dessus mais s’est heurté à un barrage routier, a écrasé l’un d’eux et l’a légèrement blessé.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Peu de temps après, un incident extrêmement inhabituel s’est également produit dans la région de Binyamin. Près de la zone industrielle de Shaar Binyamin, un conducteur de véhicule israélien a ouvert le feu sur un homme qui lui a jeté des pierres, le blessant. Ce n’est que plus tard qu’il est devenu clair que le lanceur de pierres était un Israélien. L’armée israélienne prévient que le sentiment parmi les combattants est « un sentiment de guerre », et que la vigilance est donc plus élevée que d’habitude.
Des événements graves, qui dans le passé auraient pu être maîtrisés d’une manière ou d’une autre, peuvent entraîner la mort ou des blessures graves.
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