Cinq personnes ont été blessées lors d’une attaque au mortier près du kibboutz Nirim, dans le Néguev occidental. Selon le Magen David Adom, un des blessés se trouve dans un état critique et un autre dans un état grave.
Auparavant, le Hamas avait tiré des roquettes sur Gush Dan, Ashkelon et des villages du Néguev occidental. Il n’y a eu aucune victime.
Jusqu’à présent, le Hamas n’a pratiquement pas utilisé d’armes aussi meurtrières que les obus de mortier, qui ont tué plus de personnes que les roquettes lors des opérations dans la bande de Gaza. Les observateurs militaires pensent que le Hamas retient les obus de mortier pour contrer l’opération terrestre de Tsahal.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
La chaîne libanaise pro-iranienne Al-Mayadeen a rapporté, citant le Hamas, que sa branche militaire « est au plus haut niveau de préparation et opère selon des plans pré-approuvés ». « Nous ne manquons ni de personnes ni d’armes : nous pouvons nous battre pendant plusieurs mois. Jusqu’à présent, nous avons utilisé 10 % de nos arsenaux de missiles. Nous agissons sur la base d’un plan à long terme », a déclaré le Hamas.
Pendant ce temps, les tentatives des groupes terroristes pour pénétrer dans le Néguev occidental se poursuivent. Au cours de la dernière heure, des combats ont eu lieu entre des soldats de Tsahal et des terroristes du Hamas dans la zone située à l’est de Khan Yunis. Ces derniers ont tenté de percer en tirant des missiles antichar sur les Israéliens. En réponse, un groupe de terroristes a été frappé à l’aide d’un drone faisant des morts dans le camp ennemi.
Plus tôt samedi, l’armée et le Shin Bet ont annoncé l’élimination de l’un des organisateurs de l’attaque contre Israël le 7 octobre. Il s’agit d’Ali Kadi, l’un des commandants des forces spéciales de Nukhba. Il purgeait une peine d’emprisonnement à perpétuité pour terrorisme depuis 2005, mais a ensuite été libéré dans le cadre de l’accord Shalit. Ali Qadi, membre de la cellule terroriste du Hamas, et un autre Palestinien travaillant dans la zone industrielle de Mishor Kdumim, ont kidnappé Sason Nouriel en 2005. Ils l’ont emmené à Ramallah et l’ont poignardé là-bas. La veuve de Nouriel a intenté une action en justice contre la libération d’Ali Qadi.
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