C’est un premier rapport médical sur l’état des personnes enlevées et disparues : il y a un danger immédiat pour la vie et souffrances inhumaines pour certaines des personnes enlevées et disparues. C’est ce que révèle le premier rapport médical détaillant l’état physique d’une partie importante des personnes enlevées et portées disparues.
Le rapport, remis aujourd’hui aux représentants de la Croix-Rouge en Israël qui ont visité le siège des familles, révèle l’ampleur de l’horreur : les patients atteints de la maladie de Parkinson et de la sclérose en plaques, ceux ayant des besoins spéciaux, les jeunes enfants et les personnes âgées se trouvent dans des conditions extrêmes et le temps presse.
Dans le rapport soumis aujourd’hui (lundi) à la Croix-Rouge par l’équipe médicale dirigée par le professeur Hagai Levin, la situation des personnes enlevées et disparues montrent qu’elles souffrent de tortures insupportable, et mettant leur vie en danger .
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Accès aux soins médicaux.
Selon le rapport, les gens souffrent d’une manière indescriptible et ont besoin d’urgence d’un traitement avec des médicaments vitaux et d’un traitement des blessures. D’après les informations préliminaires : de nombreux blessés (après une amputation ; des blessures graves suite à un viol) des maladies telles que la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques , les maladies cardiaques, le cancer et les patients ayant des besoins particuliers tels que l’autisme, la démence et les tout-petits.
porte-parole de Tsahal
Parmi les exemples de cas critiques décrits dans le rapport, il y a un bébé de 9 mois qui se nourrit uniquement de préparations pour nourrissons et qui a besoin de nutrition et de produits essentiels pour bébé. Il y a des enfants autistes qui ont besoin d’une assistance particulière. Bien sûr, il y a une femme de 23 ans blessée par balle sans traitement médical et un blessée par amputation.
Et une autre femme de 27 ans atteinte de la maladie de Crohn qui nécessite un traitement biologique et une thérapie nutritionnelle médicale au risque d’aggraver la maladie. En outre, il y a un homme atteint d’une maladie auto-immune grave qui nécessite un traitement biologique en hôpital, qui risque d’aggraver sa maladie et entrainer la mort. Et un autre homme de 60 ans atteint de sclérose en plaques, qui a du mal à marcher.
Il y a aussi une femme de 85 ans souffrant d’insuffisance cardiaque, de maladie rénale, d’asthme, d’arythmies cardiaques avec risque de formation de caillots sanguins, de rétention d’eau et de décès. Le rapport mentionne également une femme âgée atteinte de la maladie de Parkinson, de démence, d’insuffisance pondérale, risquant d’aggraver la maladie et de mourir.
