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Dix jours après le début de la guerre, les preuves de négligences en matière de sécurité se multiplient, laissant les habitants aux frontières du secteur entre les mains de terroristes.

Lundi soir, des observatrices ont déclaré à la Douzième chaîne qu’elles avaient clairement vu le processus de préparation des terroristes. Le travail de ces soldates consiste à surveiller les moniteurs pendant toute la durée du service, à noter l’activité à la frontière et les phénomènes inhabituels, et à en informer la direction, qui prend une décision.

 

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Les filles disent qu’il y avait toujours des terroristes près de la barrière de séparation avec des cartes et montrant la barrière. De plus, ils s’entraînaient constamment, par exemple en lançant des grenades. L’observatrice l’a rapporté, mais on lui a dit : « Ce ne sont qu’une bande de voyous, ils ne feront rien. »

« Depuis un mois, toute cette histoire « d’agriculture » me semble étrange. Tout a changé. J’ai raconté ce qui se passait aux commandants et ils m’ont répondu : « Ce ne sont que des agriculteurs. Là-bas, ils travaillent dans les champs. » Je leur ai dit : « Non, ce n’est pas seulement du travail sur le terrain. C’est plein de citadins. Ça a l’air bizarre. » C’est le témoignage d’une des filles.

De tels avertissements ont été nombreux, mais comme le Hamas n’avait jamais mené d’opérations aussi audacieuses avec une pénétration profonde en Israël, personne n’imaginait que cela était possible. En conséquence, pendant les fêtes en Israël, la crainte d’attaques terroristes en Samarie était plus grande et la frontière avec Gaza s’est avérée moins prioritaire .