Le ministre et membre du cabinet Itamar Ben Gvir est revenu et a menacé aujourd’hui (mercredi) de ne pas accepter un « accord de promiscuité », dans ce qui restera dans les mémoires comme le « discours de la chèvre » (le mouton pour la traduction francaise) .
« Nous avons entendu dans les médias des fuites et des briefings contenant des chiffres exagérés et illusoires sur ce qu’Israël est censé donner au Hamas pour cette organisation nazie », a fait référence le ministre aux premiers rapports faisant état d’un accord prévoyant la libération de milliers de terroristes. Après cela, le Premier ministre Benyamin Netanyahou a clairement fait savoir à deux reprises qu’il n’accepterait pas cette proposition ni le retrait de Gaza .
Cependant, le ministre a déclaré : « Dans le cadre d’un accord visant à libérer des otages, il s’agissait apparemment d’une chèvre, dont le début était de préparer le terrain. Il s’agit d’un accord de promiscuité à tous points de vue. Je tiens à dire sans équivoque, M. le Premier ministre, les centaines de soldats de Tsahal tombés ne sont pas des chèvres, les membres des familles des morts ne sont pas des chèvres, les habitants du sud ne sont pas des chèvres, les citoyens d’Israël ne sont pas des chèvres et je ne suis pas une chèvre non plus. »
« Je dis même à partir de ce stade, de la manière la plus explicite, que nous n’autoriserons pas une situation où le Hamas gagne ici, nous n’autoriserons pas un accord dont le but est la victoire du Hamas. Nous ne permettrons pas que des milliers et des milliers d’assassins soient libérés de prison. « .
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
