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Le Likoud, a atteint un succès lors des élections sauf dans quelques villes comme  Safed après la destitution du maire du Likoud, Shuki Ohana.

Ohana a réussi à manœuvrer entre les ultra-ordoxes et les autres populations de la ville pendant de nombreuses années, mais Safed entre désormais dans une nouvelle étape.

Il y a aussi une révolution religieuse à Arad, où les habitants luttent depuis plusieurs années contre la transformation de la ville en ville religieuse. Lors de ces élections, les Gur Hassidim, installés dans la ville, ont réussi à vaincre l’ancien maire.

Le candidat ultra-orthodoxe a également gagné à Tibériade.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Dans la ville de Netivot, le maire Yehiel Zohar du Likoud est de nouveau maire, mais cette fois ci, il devra demander l’avis des religieux (Rav Abergel -Ah’i) qui sont passés en masse avec 39 % des voix et Shas avec 30.3 % au Conseil municipal pour prendre des décisions importantes dans la ville (ouverture Shabat, Gay pride…) .

Là où les ultra-orthodoxes n’ont aucune chance de remporter le siège de maire, les factions ultra-orthodoxes ont remporté de nombreux sièges aux conseils municipaux.

Le maire de Haïfa est encore inconnu, un second tour s’annonce, mais le conseil municipal est extrêmement diversifié, et il va falloir négocier avec les religieux.

À Ashdod, la faction la plus importante au conseil municipal sera la faction Shas (16,6 % des sièges), 13 % pour la communauté juive de la Torah, et 8,4 % supplémentaires pour les « combattants ultra-orthodoxes pour le renforcement de la foi de Degel HaTorah ». À Bat Yam, la deuxième faction en importance au conseil municipal était les sionistes religieux.

Jérusalem est en train de devenir une ville plus religieuse et ils ont accru leur présence au conseil municipal et en représente désormais plus de la moitié.