Il n’y a pas d’Israélien qui n’a pas souri hier comme s’il connaissait un secret lorsqu’il a appris la disparition du président iranien Ibrahim Raissi. Un homme qui était un ennemi de premier plan qui, outre le meurtre de milliers de prisonniers iraniens à l’époque de Khomeini, a tout fait pour nuire à Israël, dans le cadre de l’activité iranienne visant à renforcer le Hamas, le Hezbollah et les Houthis, en fournissant des armes et des formations.
Mais dans l’état actuel des choses, outre le Mossad, il existe des suspects bien plus importants qui sont à l’origine de l’accident. Concernant certains d’entre eux, certains diraient qu’il s’agit là d’une justice poétique.
Les restes de l’hélicoptère ont été retrouvés à flanc de montagne dans une zone boisée. L’hélicoptère a disparu lors des intempéries, des vents et surtout du brouillard, le plus grand ennemi des hélicoptères. Le brouillard cache les montagnes et les forêts aux pilotes, et des hélicoptères de l’armée de l’air israélienne se sont également écrasés dans de telles circonstances. Deux des accidents les plus notables ont été un accident de tempête sur un flanc de montagne en Roumanie en 2010, dans lequel sept personnes ont été tuées, et le crash de l’hélicoptère du général de division du commandement central Nehemiah Tamari en 1994, alors qu’il atterrissait au quartier général du commandement dans le nord de Jérusalem.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :