Rejoignez nous en live !

Le chef de l’état-major général des Forces de défense israéliennes, Herzi Halevi, envisage la possibilité de mettre fin à son service en décembre 2024. Ce délai coïncide avec l’achèvement de l’enquête sur les événements du 7 octobre, rapporte le correspondant militaire de la chaîne de télévision 12 Nir Dvori.

D’ici la fin de l’année, il est également prévu de se préparer à une éventuelle guerre au Liban. Halevi suppose qu’il peut accomplir ces tâches en signant les résultats de l’enquête et en les présentant publiquement.

L’armée israélienne mène actuellement une enquête interne à grande échelle , couvrant toutes les structures militaires, afin de découvrir quelles erreurs ont été commises lors de l’attaque du Hamas et ce qui doit être corrigé.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

https://infos-israel.news/soutenez-infos-israel-news/

Halevi a déclaré que l’enquête devrait apporter des réponses claires aux questions liées à la manière exacte dont le système de défense a échoué le 7 octobre. On pense que ce travail est l’une des raisons pour lesquelles Halevi cherche à prendre sa retraite.

La situation à la frontière nord pourrait modifier cette décision. D’ici fin décembre, Tsahal prévoit d’achever les préparatifs d’une éventuelle opération à grande échelle au Liban. Toutefois, si l’escalade au Liban ou sur d’autres fronts commençait plus tôt, Halevi pourrait rester.

Certains craignent que confier le commandement à un officier moins expérimenté en pleine guerre puisse nuire à l’efficacité du combat, en particulier contre un ennemi aussi dangereux que le Hezbollah.

L’armée a démenti cette information, affirmant que «le message sur la date prévue du départ à la retraite du chef de l’état-major n’est pas vrai, il n’y a aucune base pour cela. Le chef d’état-major se concentre désormais sur la conduite de la guerre, sur la direction de Tsahal dans la lutte contre nos ennemis et sur la réalisation des objectifs de la guerre.

Aujourd’hui, on apprend que le chef de l’unité de renseignement d’élite 8200, le général de brigade Yossi Sariel, a présenté sa démission. Il était chargé de collecter et d’analyser les informations qui auraient pu empêcher les attentats du 7 octobre.

Dans sa lettre, Sariel a reconnu que l’unité avait échoué dans sa mission en n’ayant pas réussi à détecter et à prévenir les menaces en temps opportun. Il a démissionné, assumant l’entière responsabilité des échecs.