Ce que viennent de réaliser les Israéliens est proprement phénoménal. Bien sûr aujourd’hui, la guerre, plus que jamais, repose beaucoup, au-delà de la participation des hommes sur le terrain, sur la technologie. On l’a vu notamment, dans la guerre opposant l’Arménie et l’Azerbaïdjan et surtout, dans la guerre actuelle en Ukraine. Mais là, avec les bipeurs, les Israéliens se sont surpassés ; ils ont atteint les sommets.
Comment ? Tout simplement en neutralisant, ou à tout le moins, en affaiblissant l’ennemi dans un nombre conséquent, et sans avoir besoin -comme avec les drones il est vrai- d’aller combattre sur le terrain. Mais un drone, on peut le descendre, ça se voit, ça fait du bruit. Là, avec les bip, bip, bip, tu es, je dirai, dans l’intimité de la victime : dans la poche de son pantalon, dans la pochette de sa chemisette tout près de son coeur et bang !!!…
Finies désormais les communications par portables entre les saloperies du Hezbollah pour préparer un mauvais coup, bien satanique comme ceux que prescrivent leur coran, contre de paisibles Israéliens. Il va falloir désormais pour eux utiliser les muscles de leurs jambes. Mais quand Tsahal verra quelqu’un courir à fond sur une route du sud Liban, il saura désormais à qui il a affaire.
Ah ! Ils veulent depuis 1948, obsédés par la mort, la guerre ? Ils veulent, comme les nazis, exterminer les Juifs, les Juifs qui, sur leurs terres ancestrales ne veulent que vivre ? Car oui, tous les Juifs en fait, et naturellement, cherchent à vivre comme des Tsadikim. Ils ne prennent pas beaucoup de place sur leur petit coin, dans l’immensité de la terre. Or, il y a dans la simplicité de cette attitude, reçue directement de Hashem comme une certitude inébranlable, une provocation de la haine et de la cruauté chez ceux de l’entourage.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :