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L’Espagne, qui a pris une série de mesures pro-palestiniennes depuis le début de la guerre, atteint un nouveau point bas avec l’organisation de célébrations à travers le pays en l’honneur du « Déluge d’Al-Aqsa » les 6 et 7 octobre. Jusqu’à présent, aucune opposition officielle n’a été enregistrée de la part du gouvernement espagnol.

Depuis le déclenchement de la guerre des « Épées de fer », l’Espagne est devenue l’un des pays les plus agressifs envers Israël, exprimant son soutien au peuple palestinien par diverses actions. Le point culminant a été son soutien à la plainte de l’Afrique du Sud contre Israël. Désormais, à l’approche du 7 octobre, plusieurs événements pro-palestiniens sont prévus en Espagne pour marquer cette date, qui est associée au massacre du 7 octobre, sous le nom de « Déluge d’Al-Aqsa », selon un rapport de Ynet.

Les événements en soutien au massacre prévus dans le pays

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Dans plusieurs villes d’Espagne, des organisations, dont certaines reçoivent des financements iraniens, planifient des festivités pour commémorer le 7 octobre. Ces événements célèbreront le « Déluge d’Al-Aqsa », le nom donné par le Hamas à l’attaque terroriste du 7 octobre. Les célébrations sont prévues pour les 6 et 7 octobre, sans que le gouvernement espagnol n’ait encore exprimé d’opposition officielle.

Les mesures pro-palestiniennes du gouvernement espagnol et la réponse israélienne

Ce rapport survient dans un contexte de nombreuses actions pro-palestiniennes prises par le gouvernement espagnol au cours de l’année écoulée. Rappelons qu’il y a quelques mois, à la suite de la reconnaissance par l’Espagne de l’État palestinien et de l’appel antisémite de la vice-première ministre espagnole à « libérer la Palestine, du fleuve à la mer », le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a décidé de couper les relations entre la représentation espagnole en Israël et les Palestiniens, interdisant également au consulat espagnol à Jérusalem de fournir des services aux Palestiniens de Judée et Samarie.

« J’ai décidé d’interdire au consulat espagnol à Jérusalem de fournir des services aux Palestiniens », avait alors déclaré Katz. Pour rappel, l’Espagne a récemment choisi de soutenir la plainte de l’Afrique du Sud contre Israël devant la Cour pénale internationale, prenant ainsi une position claire et exacerbant les relations avec Israël.