Dans le contexte des discussions sur un éventuel accord de cessez-le-feu dans le nord, l’Iran continue de menacer Israël. Le ministre des Affaires étrangères iranien, Abbas Araghchi, a déclaré que la riposte iranienne aux frappes israéliennes du mois dernier n’a pas été annulée mais simplement reportée, affirmant :

« Nous mettrons en œuvre l’opération ‘Promesse de Vérité 3’ (nom donné à la future attaque iranienne contre Israël) bientôt et au moment qui nous conviendra. »

Malgré les rapports évoquant un report de l’attaque, les États-Unis identifient une tendance opposée, suggérant que l’Iran intensifie ses préparatifs pour une attaque contre Israël depuis le territoire irakien.

Michael Knights, chercheur principal à l’Institut de Washington pour la politique au Moyen-Orient, a souligné qu’il existe des inquiétudes selon lesquelles l’Iran aurait déjà introduit clandestinement des missiles balistiques en Irak, dissimulés dans des réservoirs d’eau ou de pétrole, dans le but de les utiliser comme réponse aux frappes israéliennes sur le sol iranien.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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La situation reste tendue, alors que les menaces verbales se multiplient et que la communauté internationale surveille les mouvements iraniens.

Michael Knights a ajouté que les missiles iraniens, dissimulés dans des citernes d’eau ou de pétrole, pourraient servir de réponse aux frappes israéliennes sur le sol iranien.

En parallèle, Israël réagit à des informations selon lesquelles, lors de sa dernière attaque en Iran, l’État hébreu aurait frappé un composant secret qui aurait pu être utilisé par l’Iran pour développer une bombe nucléaire. Après cette frappe, il serait désormais beaucoup plus difficile pour l’Iran de poursuivre ces projets.

Selon un rapport publié sur le site Walla, des responsables israéliens et américains ont dévoilé des informations supplémentaires sur les conséquences de cette frappe. Ils ont déclaré :

« Ils menaient des activités scientifiques qui pouvaient poser les bases de la production d’armes nucléaires. C’était extrêmement secret. Une petite partie du gouvernement iranien en avait connaissance, mais la majorité de ses membres n’étaient pas au courant », a affirmé un responsable américain.

Un responsable israélien a souligné :

« Il s’agissait d’un équipement dont les Iraniens auront besoin à l’avenir s’ils veulent avancer vers une bombe nucléaire. Maintenant, ils ne l’ont plus, et ce n’est pas anodin. Ils devront trouver une autre solution, et nous serons attentifs à cela. »