Après que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a imposé des sanctions à l’Iran la semaine dernière, le régime des ayatollahs a approché les puissances européennes dans le but d’arriver à un accord sur le nucléaire avant le deuxième mandat de Donald Trump.
Des médias internationaux ont révélé, au cours des dernières heures, des échanges diplomatiques entre l’Iran et plusieurs pays européens, ce qui semble être une tentative de l’Iran de parvenir à un consensus avec l’Europe sur la question du nucléaire avant l’entrée en fonction de Donald Trump à la Maison Blanche.
Après que la semaine dernière l’AIEA (l’Agence internationale de l’énergie atomique), qui supervise les activités nucléaires mondiales, a annoncé que l’Iran avait accumulé plus de 60 fois la quantité d’uranium enrichi autorisée par l’accord nucléaire, proche d’un niveau militaire, l’agence a imposé plusieurs sanctions contre l’Iran.
En réponse, l’Iran a déclaré qu’il allait mettre en service de nouveaux équipements d’enrichissement, tels que des centrifugeuses avancées et des systèmes informatiques sophistiqués, en « représailles » contre les actions de l’agence.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :