Dans une interview accordée à la chaîne Al-Sharq saoudienne, un responsable du Hamas a affirmé que les parties étaient « plus proches que jamais d’un échange de prisonniers et d’une trêve, à condition que Netanyahu ne fasse pas échouer l’accord ». Selon lui, « les États-Unis doivent maintenant faire pression sur Netanyahu pour finaliser l’accord ».
Le responsable a déclaré que le Hamas et les autres groupes terroristes palestiniens avaient présenté une « position avancée » et fait preuve de « flexibilité », notamment en acceptant une cessation progressive des hostilités et un retrait échelonné selon un calendrier précis et convenu. Cela serait accompagné de « garanties par des médiateurs internationaux pour mettre fin à l’agression ».
Cependant, il a souligné que le Hamas et les autres groupes terroristes dans la bande de Gaza « ne renonceront pas à leurs exigences ». Selon lui, ces exigences incluent « la fin de la guerre, un retrait total de Gaza, le retour des réfugiés et un échange de prisonniers digne ».
Il a également révélé que les médiateurs avaient ordonné de ne pas divulguer les détails de l’accord « pour garantir son succès et éviter que Netanyahu ne l’utilise comme excuse pour se dérober ». Selon lui, les médiateurs intensifient les négociations et les discussions pour combler les écarts et parvenir à un accord dans un avenir proche.
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