Depuis le 7 octobre, 12 procédures ont été engagées contre des soldats de Tsahal, en service actif et en réserve, mais la plupart n’ont pas abouti à une enquête ou à un arrestation. La sous-commission du cabinet de sécurité et de défense a tenu une réunion spéciale pour se préparer à de futurs incidents et déterminer la responsabilité dans ces cas. Le père du soldat a commenté l’événement : « J’ai demandé qu’ils prennent les affaires et partent aussi loin que possible », tandis que l’ex-avocat général a averti : « Cette fois, nous étions plus proches que jamais ».
Le tribunal brésilien a ordonné une enquête contre Y., un soldat de réserve qui visitait le pays, et en Israël, il est clair que cette fois, ils ont été plus proches d’une crise diplomatique que jamais. Aujourd’hui (dimanche), suite à cet incident qui a exercé une pression considérable sur le ministère des Affaires étrangères, des informations inquiétantes ont été présentées au gouvernement concernant la possibilité d’arrêter des soldats israéliens à l’étranger.
Les derniers événements préoccupent sérieusement le ministère des Affaires étrangères et les responsables israéliens. Lors d’une réunion de la sous-commission du cabinet de sécurité et de défense, présidée par le ministre Gideon Sa’ar, des données inquiétantes ont été partagées, certaines restant sous confidentialité. Il a été révélé qu’entre le 7 octobre et aujourd’hui, en un an et trois mois, 12 cas ont été enregistrés où des procédures ont été ouvertes contre des soldats, actifs et réservistes.
Dans la plupart des cas, les procédures n’ont pas abouti à une enquête, et aucun cas n’a encore atteint le stade de l’arrestation. Dans tous les cas, Israël a pris des mesures pour éviter que les soldats ne restent dans ces pays. Les pays où des procédures ont été ouvertes contre des soldats de Tsahal sont : Brésil, Sri Lanka, Thaïlande, Belgique, Pays-Bas, Serbie, Irlande et Chypre.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :