À chaque nouveau niveau de transactions d’échange en Israël, l’inquiétude grandit quant au sort de la famille qui, dans un sens, est devenue un symbole de la tragédie du 7 octobre : Shiri et Yarden Bibas et leurs deux jeunes fils.
Après chaque publication des listes d’otages libérés, les proches de cette famille deviennent de plus en plus déprimés : Shiri, Ariel et Kfir n’y figurent pas.
On sait que Yarden Bibas, capturé séparément par des terroristes au kibboutz Nir Oz, doit rentrer chez lui dans le cadre de la première étape de l’accord dans la catégorie des cas humanitaires (blessés et malades). Mais Shiri et les garçons… ne sont pas sur la liste.
Selon Ynet , Israël a décidé de mettre fin à cette pression psychologique du Hamas sur la famille et sur l’ensemble de la société israélienne et a exigé que les informations sur la femme et les enfants soient transmises par des intermédiaires afin de mettre un terme à cette affaire.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :