En plus des prisonniers palestiniens dont la libération en échange d’otages est largement connue, Israël libère 1 000 autres Gazaouis détenus pendant la guerre mais non impliqués dans le massacre du 7 octobre.
La chaîne i24news a rapporté aujourd’hui que l’article n’était pas connu du grand public ni de certains ministres du cabinet.
Cela ressemble déjà à une amnistie de masse, qui intervient généralement après la conclusion de la paix entre les parties belligérantes, dont Israël et le Hamas sont aujourd’hui extrêmement loin. De plus, comme le souligne la chaîne, nous ne parlons pas de fellahs innocents tombés entre leurs mains, mais de terroristes et de leurs complices. Parmi les personnes arrêtées figurent des personnes qui ont lancé des roquettes sur Israël, creusé des tunnels, collaboré avec le Hamas et fait partie de ses structures de direction.
En vertu de l’accord avec le Hamas (que le gouvernement a refusé de publier dans son intégralité et que la Haute Cour a rejeté une requête le demandant), Israël choisira lui-même 500 d’entre eux et remettra les 500 noms restants au Hamas.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :