Le rapport final détaillant les analyses pathologiques de Yahya Sinwar, ancien chef du Hamas et architecte du massacre du 7 octobre, a été révélé ce jeudi. Réalisé par Tsahal ces derniers jours, il offre un éclairage stratégique et sécuritaire crucial.
Les analyses toxicologiques menées sur le sang de Sinwar ont révélé un élément surprenant : contrairement aux attentes, aucune trace de substances stupéfiantes, y compris le Captagon souvent utilisé par les terroristes du Hamas, n’a été détectée. Seule une concentration significative de caféine a été relevée.
Par ailleurs, il a été décidé de ne pas extraire les projectiles retrouvés dans sa tête, empêchant ainsi l’identification exacte du soldat ayant tiré le coup fatal.
Des hauts responsables militaires israéliens examinent actuellement ce rapport sous l’angle de ses implications stratégiques. Bien que l’intégralité du document n’ait pas été dévoilée, il pourrait influencer de futures décisions tant militaires que politiques.
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