Après qu’il a été déterminé que le corps de la femme décédée n’était pas celui de Shiri Bibas ou de tout autre otage, on ne sait toujours pas comment Israël compte procéder. 

Les résultats de l’examen ont été transmis aux États-Unis, mais l’échelon politique n’a pas encore annoncé sa décision.

L’armée israélienne a déclaré à Walla que le processus d’identification avait été très minutieux. Le corps de la femme anonyme a été examiné à plusieurs reprises et de nombreux tests ont été effectués. Aucun lien avec l’ADN des otages. L’identification a établi qu’ils ont été tués, et cette détermination est également basée sur les renseignements dont dispose Israël.

Le Hamas affirme que Shiri et les enfants ont été tués dans un bombardement de Tsahal en novembre 2023, mais Tsahal ne le confirme pas. En fait, toutes les options sont possibles ici. Nous ne savons pas qui surveillait la femme et les enfants et de quelles atrocités ils étaient capables.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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L’armée a déclaré qu’il s’agissait clairement d’un assassinat commis par le Hamas.

En février 2024, une vidéo a été diffusée sur les premières heures de Shiri Bibas à Gaza. À cette époque, il n’y avait aucune information sur ce qui était arrivé plus tard aux garçons et à leur mère. 

Carmit Katzir de Nir Oz, dont les parents et le frère ont été parmi les victimes du massacre, a déclaré hier à Ilana Dayan sur Galei Tzahal que la vue des cercueils restitués, ainsi que les attentats à la bombe contre les bus, pourraient être utilisés pour attiser les sentiments de vengeance dans l’opinion publique israélienne dans le but de les utiliser pour contrecarrer l’accord. 

Le quartier général des familles des otages a lancé un appel au gouvernement vendredi matin : « Trouvez le moyen juste, le plus sage et le plus rapide de rendre Shiri et tous ceux qui ont été kidnappés. Il y a actuellement 70 autres de nos enfants, frères et parents dans l’enfer du Hamas à Gaza. Ne les laissez pas entre les mains de meurtriers. Chaque minute supplémentaire représente un danger de mort pour les vivants enlevés et un danger de rater l’occasion de ramener les morts pour les enterrer.