Jusqu’à ce soir, la zone dite de première ligne dans le nord restait « jaune », avec des restrictions sur le nombre de rassemblements restants, des événements de masse interdits et des institutions pour enfants autorisées à fonctionner uniquement si des abris anti-bombes étaient disponibles.
Les villages frontaliers ont reçu le statut « vert » une semaine avant le retour prévu des habitants dans les villes et villages évacués. Dans tout le nord, à l’exception de Metula et Manara, toutes les écoles et jardins d’enfants devraient ouvrir à partir du 1er mars.
Les familles qui rentreront chez elles avant le 7 mars, ou qui cesseront au moins de percevoir des subventions temporaires au logement à partir de cette date, recevront l’intégralité des subventions de retour – 15 360 NIS par adulte et 7 680 NIS par enfant.
Pendant ce temps, la situation au Liban reste instable et tendue ; les forces de Tsahal n’ont pas été complètement retirées du territoire et sont restées dans cinq points « stratégiques » pour une durée indéterminée ; des frappes aériennes sont menées périodiquement sur le territoire libanais ; des avions israéliens ont survolé de manière démonstrative le ciel de Beyrouth aujourd’hui.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :