« Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux : un temps pour naître, et un temps pour mourir; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté; un temps pour tuer, et un temps pour guérir ; un temps pour détruire, et un temps pour bâtir; un temps pour pleurer et un temps pour rire ; un temps pour pleurer et un temps pour danser ; un temps pour jeter des pierres, et un temps pour ramasser des pierres; un temps pour faire des câlins et un temps pour éviter les câlins ; un temps pour chercher et un temps pour perdre ; un temps pour économiser, et un temps pour jeter; un temps pour déchirer, et un temps pour coudre; un temps pour se taire, et un temps pour parler ; un temps pour aimer et un temps pour haïr ; « Il y a un temps pour la guerre et un temps pour la paix », a-t-il repris cette citation en la raccourcissant un peu.
Après quoi Zamir a noté que « tout cela devra être fait simultanément ».
Dans la lettre, il rappelle qu’Israël est entré en guerre il y a un an et demi et que « des temps difficiles vous attendent ».
« L’armée israélienne n’a pas réussi à remplir sa mission le 7 octobre. Nous ne nous cacherons ni ne dissimulerons. Les cris de nos frères et sœurs resteront à jamais une cicatrice dans nos cœurs.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :