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Selon des informations non confirmées, trois personnes ont été tuées et dix autres ont été blessées et souffrent de suffocation après la présence d’un gaz toxique. Si les rapports disent vrai, c’est la première attaque chimique de l’armée syrienne depuis la signature de l’accord qui a été conclu l’année dernière après les attaques en août, qui ont fait des centaines de morts, dont de nombreux civils et enfants.

Selon des sources de l’opposition à Beyrouth, l’armée syrienne a fait usage de gaz toxiques, la nuit dernière, suite à un raid aérien sur la banlieue de Damas, la capitale, une vidéo a été postée, montrant les blessés. Selon les rebelles, cette attaque a fait trois morts et dix blessés qui ont été admis dans un hôpital local, ils souffrent d’essoufflement et d’angine de poitrine.

Toujours, selon le rapport des partis de l’opposition, c’est la première attaque chimique de l’armée syrienne depuis la signature de l’ accord conclu l’année dernière, à la suite d’un engagement sans précédent par les forces d’Assad au mois d’août. Ces attaques ont tué des centaines de personnes, et selon certaines estimations, l’armée d’Assad a effectué 14 attaques avec des armes chimiques au cours de la dernière année.

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Il y a une semaine, six mois après l’attaque qui a choqué le monde entier, le premier chargement d’armes chimiques a été transféré hors du pays, a déclaré l’organisation des Nations Unies.

Selon le communiqué publié, ces armes étaient sur deux sites, leur emplacement n’a pas été spécifié, dans la ville portuaire de Lattaquié. De là, un navire danois a été chargé, et il devrait rester en mer jusqu’à l’arrivée des matériaux supplémentaires.

Les inspecteurs de l’ONU ont annoncé fin décembre de l’année dernière (2013), que des armes chimiques avaient été utilisées dans la guerre civile en Syrie, en particulier, le 21 août dans la banlieue de Damas, et peut-être quatre autres cas, du mois de mars à fin août.

Ce rapport rédigé par les experts des armes chimiques de l’ONU, et dirigé par le professeur suédois qui a examiné sept cas présumés d’attaque chimique, et qui a dit, qu’il n’a pas trouvé suffisamment d’informations pour étayer les charges dans deux des sept cas.