La police française a interrogé au poste de police de Bayonne plusieurs membres du Groupe international de contact (GIC), dirigé par l’avocat sud-africain Brian Currin.
Currin était accompagné du professeur suisse, Pierre Hazan, de l’ancien secrétaire général d’Interpol, Raymond Kendall et du professeur de doctorat en criminologie de l’Université de Yale, Alberto Spektorowski et pour finir, Silvia Casale, professeur agrégée de science politique à l’Université de Tel-Aviv.
Spektorowski spécialisé en politique internationale est un membre du comité politique du Parti travailliste, et a participé à l’équipe de négociation de l’ancien ministre des Affaires étrangères, Shlomo Ben Ami, lors des négociations de Camp David avec le Président de l’Autorité palestinienne, Yasser Arafat, en 2000.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Aucun d’entre eux n’a fait de déclarations après s’être rendus à la station de police, où ils avaient été appelés à répondre à un questionnaire envoyé par le tribunal correctionnel de Paris, compétent en matière de lutte contre le terrorisme.
Tous les membres du groupe ci-dessus ont facilité le processus de fin de violence au Pays basque. Avec eux, se rendit à la cour, le député maire français de Bayonne, l’avocat Jean René Etchegaray, mais aussi l’avocat Christophe Desprez, représentant la Ligue des droits de l’homme dans le Pays Basque et la députée socialiste française, Sylviane Alaux.