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Le guide suprême iranien, l’ayatollah Seyed Ali Khamenei a, vendredi, mis en doute la réalité de le Shoah sur Twitter.

Il a écrit, « L’Holocauste (Shoah) est un événement dont la réalité est incertaine. » Les utilisateurs de Twitter ont été atterrés.

Joel C. Rosenberg du New York Times, aussi auteur à succès de romans à suspense, dont le dernier, «The Escape Auschwitz,« a réagit explicitement, et a écrit: « l’ayatollah iranien Ali khamenei a tweeté sa négation de la Shoah, ce matin, alors qu’il se prépare à provoquer un deuxième Holocauste.  »

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Benny Avni, un journaliste du New York Post, Newsweek et sur la radio israélienne, a répondu aussi :  « modération », en référence à la nouvelle posture de l’Iran comme un soi disant « régime modéré.  »

Le pro-Israëlien et blogueur Ziyon a écrit, « L’Holocauste est mieux documenté que chaque événement mentionné dans le Coran. » «C’est un scepticisme assez sélectif venant de quelqu’un qui croit que Muhammad a littéralement volé sur un cheval ailé, » a écrit un autre utilisateur.

La citation est tirée d’un discours prononcé vendredi à des milliers de pèlerins au sanctuaire chiite du 8ème Imam, Hazrat Ali Ibn Moussa al-Reza, à l’occasion de la nouvelle année persane, tel que rapporté par le Daily Star au Liban, sur la base d’une dépêche de l’AFP. Les propos ont été retransmis en direct à partir de la ville du nord de Mashhad.

Dans le discours, Khamenei a appelé à la « résistance » face à une « invasion culturelle» visant les croyances religieuses de l’État islamique. En Europe, « personne n’ose parler de l’Holocauste (la Shoah), car l’essentiel n’est pas clair et on ne sait pas si c’est vrai », a déclaré Khamenei.

«Exprimer une opinion sur l’Holocauste, ou jeter le doute sur elle, est l’un des plus grands péchés de l’Europe. Ils empêchent, et veulent arrêter les sceptiques, en prétendant être un pays libre », a-t-il dit.

« Ils défendent avec passion leurs lignes rouges…Comment vont-ils nous faire oublier nos lignes rouges qui sont basées sur nos convictions révolutionnaires et religieuses ? « , a déclaré l’ayatollah.

« Si une nation n’est pas puissante, elle sera soumise par la force, le monde de l’intimidation et du chantage, ils vont nous piétiner et nous envahir « , a déclaré l’ayatollah.