Rachel Frenkel, mère de Naftali Frenkel, l’un des enfants kidnappée par des terroristes, a parlé aujourd’hui lors d’une réunion de l’ONU à Genève concernant les Droits de l’Homme et a exhorté la communauté internationale à faire des efforts pour récupérer les trois Israéliens enlevés. Derrière Rachel Frenkel était assise les deux mères des garçons enlevés – Gilad Shaer et Eyal Ifrah.
Dans un discours émouvant, Rachel a parlé de son fils et ses amis, « il y a 12 jours, ils ont enlevé mon fils sur le chemin de l’école. » « Depuis lors, nous n’avons rien: pas de nouvelles, aucun signe de vie, » a-t-elle ajouté.
« Mon fils de 16 ans, Naftali aime jouer de la guitare et jouer au basket. C’est un bon garçon et un étudiant diligent et rempli de gaieté. Eyal aime faire du sport et faire de la cuisine. »
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
«Mon fils m’a envoyé un SMS, me disant qu’il allait à la maison, et a disparu. Le pire cauchemar de toute mère dans le monde, c’est que l’horreur de l »attente sans fin, devienne une réalité. »
Rachel Frankel a remercié avant tout le monde, ceux qui ont prié pour le retour de trois garçons à la maison, puis ensuite le Secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon, qui a condamné l’enlèvement et appelé à les ramener chez eux.
« Nous sommes venus ici aujourd’hui, car nous avons envie de faire tout notre possible pour libérer nos enfants. Les enfants ne peuvent pas servir d’un moyen de lutte. Le Conseil travaille à protéger les droits de l’homme – et doit s’assurer que les enfants puissent retourner en toute sécurité à la maison ou à l’école « .
L’appel de Rachel Frenkel est venu suite à la discussion de la Commission sur la situation des droits humains dans la Judée et la Samarie, initié par un groupe de pays arabes. Les représentants de l’Iran, la Syrie, la Chine, la Russie, Cuba, Maroc, Qatar, la Turquie et d’autres pays ont condamné les opérations militaires israéliennes dans les territoires et » l’occupation » de la Judée Samarie. Le représentant de l’Égypte a déclaré qu’une partie du problème est également l’occupation des hauteurs du Golan.
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