Depuis des années, les roquettes pleuvent dans le sud du pays, Netanyaou et les résidents du sud ont usé de beaucoup de patience. Depuis cette opération de Tsahal qui a été décidée, il y a moins de 48 heures, le premier Ministre a donné un ultimatum de 48 heures aux Hamas pour stopper ses agressions contre Israël.
Mais le Hamas est une organisation terroriste, et avec de telles personnes, la communication n’est pas toujours le bon moyen de se défendre, et la menace israélienne n’a pas été prise au sérieux, les tirs de roquettes se sont intensifiés dans le sud du pays, jusqu’à toucher le centre du pays et la capitale israélienne, Jérusalem.
Deux médecins arabes qui servent dans l’armée israélienne ont décidé hier de quitter leur base militaire et leurs activités en protestation à l’opération militaire dans le sud.
Ces deux médecins militaires arabes servaient dans un régiment de combat, ils ont quitté leur base du sud sans même prévenir Tsahal.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Et ils ont pris leur armes en plus !
Ceci demontre bien qu’un arabe reste un arabe et que cela ne sert a rien de les faire servir dans notre armee, un jour ou l’autre ils vous planteront un couteau dans le dos !
Déjà le Erev Rav ne soutient pas Israël , alors les arabes israéliens encore moins ! Qu’ils aillent travailler en Syrie, y a du boulot !
A Tsahal toute mon admiration pour son courage et sa détermination. Les individus qui gouvernent mon pays la France depuis trente ans, cautionnent l’invasion musulmane et leurs revendications. Au delà des mosquées chaque jour plus nombreuses, nos dirigeants sont devenus les complices des prosélytes islamistes et de leurs funestes desseins.
Amis d’Israël, sachez que vous n’êtes pas seuls dans ce combat pour la liberté et le droit a exister paisiblement. Ce combat qui sera très bientôt le nôtre, face au terrorisme aveugle et sanguinaire des musulmans. La couardise, la cupidité et la collaboration de nos politiques au chaos qui s’annonce doit nous unir pour tenter d’éviter le pire.
(De la part d’un gaulois patriote et libre-penseur (goye)