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Le président Barack Obama a déclaré aujourd’hui, lors d’une conférence de presse à Washington qu’Israël doit lever le blocus de la bande de Gaza, car la « situation est tragique dans le secteur et cette décision est des plus constructive ».

La promesse du président américain reste ambivalente. D’un côté, il soutient les efforts visant à « faire cesser les attaques contre Israël et à éliminer la menace de tunnels, et en parallèle, il demande la restauration de la région sinistrée de Gaza. »

Dans le court terme, le président américain soutient le plan égyptien. Mais dans le long terme, Obama a ajouté : « nous devons reconnaître que Gaza ne peut continuer à exister isolé du monde, quand ses habitants n’ont aucune chance d’une vie meilleure pour l’emploi et la croissance économique  compte tenu de la densité de la population et une grande proportion de jeunes « .

Selon Obama, le plus important est de trouver une formule qui garantira à ce qu’entre Israël et Gaza , il n y aura plus d’agression en raison du développement de la technologie, et en même temps offrir aux Gazaouis, l’espoir de l’ouverture des frontières pour qu’ils  ne se sentent pas comme des prisonniers, privés de possibilités de se fournir sur le plan économique.  »

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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« Je n’ai aucune sympathie pour le Hamas  » a dit le président américain. – « Mais j’ai de la sympathie pour les citoyens ordinaires de Gaza, qui luttent pour leur existence « .

Obama a appelé « les dirigeants des deux parties à prendre le risque d’un renforcement progressif dans la confiance mutuelle. » « Il y a des formules, mais ils auront besoin de dirigeants politiques des deux côtés pour prendre la liberté de commencer une restauration progressive de la confiance, – a-t-il dit. -Ceci, bien sûr, est une tâche très difficile après le cercle de la violence que nous avons assisté. Donc, je ne pense pas que nous allons atteindre l’objectif immédiatement ».

Le président américain a exprimé la parole sur le fond des négociations au Caire, où la délégation palestinienne demande le lever du blocus de la bande de Gaza, tout en refusant de faire des concessions dans le domaine du désarmement. Le discours d’Obama ne fait que renforcer leur position, car il n y a pas de dirigeant dans la Bande de Gaza, mais des terroristes, ce qui augmente la probabilité d’échec des négociations et la reprise des attaques contre Israël. Les dirigeants du Hamas ont déjà dit qu’ils n’ont pas l’intention de renouveler la trêve, qui expire demain à 08h00.