La question palestinienne a divisé presque tous les partis politiques en France et les représentants de l’Assemblée nationale qui sont en ce moment entrain de voter ou pas en faveur ou contre la résolution d’un État palestinien.
Certains députés du Parti socialiste, environ dix, n’ont pas signé le texte de la résolution, bien que la grande majorité soutient l’initiative du parti de Benoit Amon et Elisabeth Guigou.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
L’UMP de centre-droit, à nouveau dirigé par Nicolas Sarkozy, a été divisé en ceux qui préfèrent ne pas prendre part au vote, et ceux qui sont contre. Sarkozy lui-même, a publié dans son « Twitter » deux contenus qui semble se contredire. Dans le premier, il a condamné les socialistes pour le soutien à une déclaration unilatérale d’un État palestinien (après les attaques terroristes sanglantes à Jérusalem!» – Il était indigné). Et puis il a promis de « se battre pour la création d’un État palestinien » (« Comme j’ai lutté pour la reconnaissance de la Palestine à l’UNESCO, » – a-t-il ajouté).
Le parti du « Front national », a observé jusqu’au jour du vote. La semaine dernière Marion Maréchal-Le Pen (nièce de la président du parti, Marine Le Pen) a promis de voter « pour » (« Afin de renforcer la lutte contre le terrorisme » , l’avis de la jeune politicienne devait précisément aboutir à la création d’un Etat palestinien), mais cette promesse n’a pas durer longtemps après que la radio France Inter a dit que Marion va en fin de compte s’abstenir.
Selon le Nouvel Observateur, des personnalités influentes au FN ont fait pression sur Marion et lui ont demandé de s’abstenir, comme Marine Le Pen et Aymeric Chauprade occupant une position pro-israélienne.
Que la FRANCE ET SON PRESIDENT s’occupent des français et non de la PALESTINE