Lors d’une réunion avec l’ex-ministre Tzipi Livni, l’ambassadeur de l’UE a assuré que la décision de sortir le Hamas de la liste des organisations terroristes, adoptée par la Cour européenne de justice, était dûe à des raisons de procédure « purement technique », et que tous les gouvernements de l’UE vont prendre des mesures pour éliminer cette décision et retourner le statut du Hamas à celui de 2001 : le statut d’une organisation terroriste.
Mais selon BY DFNS, site de toute l’actualité de la défense, ce changement n’est pas seulement « purement technique », car si les chefs d’État et de gouvernement adorent la politique de sanctions, facile et pas trop chère. Les preuves manquent. La décision du Tribunal de l’UE, rendue mercredi (17 décembre), sur le Hamas ne doit pas être considérée de façon anodine. Au-delà de l’incidence politique – sur le cas du Hamas et de la Palestine — elle intervient au terme d’une longue série d’arrêts du Tribunal comme de la Cour qui devraient infléchir, de façon notable, la politique de sanctions de l’Union européenne.
Des erreurs peu techniques:
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