Cette semaine, la Cour suprême a pris une des décisions les plus scandaleuses en réduisant la peine d’un violeur. Il y a plus de trois ans, un jeune couple est venu passer du bon temps sur la plage d’Ashkelon.

Ils portaient des maillots de bain et bronzaient sur ​​le sable, mais malheureusement, ils s’endormirent, et l’accusé a décidé de profiter de cette situation.

Muhammad Trudy, un palestinien en situation irrégulière passait avec ses amis. Il s’approcha de la jeune femme allongée sur le ventre portant un maillot à deux pièces et se mis à la caresser. La jeune femme pensait que c’était son mari, le palestinien tira la serviette de la femme vers lui et commença à la violer et quand elle réalisa ce qui lui était arrivé, le violeur avait déjà fui.

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Le tribunal de district de Beersheba a condamné le palestinien a été condamné à neuf ans de prison, mais suite à l’appel déposé par la Cour suprême, sa peine a été réduite à sept ans et demi de prison.

La Cour suprême a ajouté que l’événement a causé à la jeune femme une fracture dans sa vie et une déficience mentale grave et prolongée alors pourquoi la Cour suprême a décidé de fixer une peine plus légère pour ce type d’agression ?

Le raisonnement de la Cour suprême est celui-ci : «À la lumière de la politique de détermination de la peine, il convient que la peine se fasse progressivement de sorte qu’il y a place pour une punition de secours ». La Cour suprême a oublié son rôle ? Si un homme s’approche d’une femme qui dort sur la plage et la viole à midi en public et sans aucune crainte envers le mari, et la Cour suprême estime qu’il faut faire place à l’indulgence et le condamne à sept ans de prison alors peut-on imaginer que nous revivons aujourd’hui la période de Sodome et Gomorrhe ?