La police allemande a perquisitionné le domicile de Lubitz (28 ans) dans une tentative de comprendre ce qui a motivé le jeune homme de tuer 150 passagers et membres d’équipage. La police a trouvé dans son appartement à Dusseldorf une «découverte importante» qui pourrait faire la lumière sur les motifs.
La police a refusé de révéler l’information mais a clairement indiqué que « ce n’est pas une lettre de suicide ». La police a également perquisitionné le domicile de ses parents de la ville natale de Montabaur dans le sud-ouest de l’Allemagne et a confisqué des ordinateurs, documents et objets.
Selon le Daily Mail, Lubitz a stopper sa formation en 2008 en raison de son état mental. « Il a probablement souffert de dépression et d’épuisement professionnel», a déclaré un ami du copilote.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Les parents de Lubitz sont venus hier sur le site du crash dans le sud de la France comme les familles des autres passagers et l’équipage. Quelques minutes avant la conférence de presse, on leur a été révélé que leur fils avait volontairement fait crasher l’avion, les parents ont reçu l’incroyable nouvelles peu de temps avant les autres familles des victimes.
Pendant ce temps,la compagnie aérienne britannique EasyJet a modifié ses procédures aériennes, tout comme la Norvège en obligeant la présence de deux membres d’équipage dans le cockpit. Si l’un des pilotes devrait quitter la cabine, un autre membre du personnel doit le remplacer.
Le procureur de Marseille a annoncé officiellement que l’accident était un acte délibéré du copilote, et non un hasard, car la descente sans hésitation s’est faite après le départ du capitaine qui a quitté le cockpit, le copilote s’est enfermé et a commencé à piquer vers les Alpes françaises.
Tous les détails de l’enquête sont basés sur des renseignements de la boîte noire de l’avion. Entre autres, les enregistrements sonores du commandant quand il frappe à la porte et demande d’entrer et utilise une hache pour tenter d’entrer de force. Dans les derniers instants avant le crash, on peut entendre les cris des passagers.
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