On peut comprendre pourquoi Netanyahu a refusé de rencontrer l’ancien président américain, vu sa position pro-palestinienne, et ses allées et venus dans la Bande Gaza.
Benjamin Netanyahu le sait, et il a attisé la colère de la gauche (et centre) israélienne après avoir refusé de rencontrer l’ancien président américain Jimmy Carter.
Avec le soutien de la gauche israélienne, y compris le Meretz et Avoda, Jimmy Carter a fait de nombreuses déclarations contre l’État : «Israël est un État d’apartheid en imposant le siège de Gaza ».
Carter a rencontré Khaled Meshal, lorsque le gouvernement de droite a confirmé la libération de Guilad Shalit, mais il a aussi mené des négociations secrètes avec le Hamas.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :