Le Chef du ministère de l’Intérieur, et ancien officier du Shin Bet s’est suicidé à cause de campagnes d’intimidation dans les réseaux sociaux.
Quelques minutes avant sa mort, Ariel Ronis, 47 ans, a écrit sur « Facebook » que la renommée qu’il a gardé toute sa vie a été déshonorée par des personnes diffusant massivement sur lui une fausse position, l’accusant d’être raciste simplement en raison du fait qu’il a fait attendre une personne .
Le poste a été publié le jeudi 20 mai. La femme a écrit qu’elle était venue au ministère de l’Intérieur délivrer un passeport à son fils avec deux jeunes enfants et un bébé dans une poussette, il y avait de nombreuses personnes, mais la mère de famille a transmis un dossier incomplet. L’employé a refusé d’accepter ces documents, et a envoyé la femme « en fin de la file d’attente. »
Comme la mère était noire de peau, elle est allée se plaindre à la tête du département d’Ariel Ronis et s’est plaint immédiatement de «discrimination». Cet événement a choqué Ronis , après 20 ans de travail acharné, un doctorat en droit, il a passé l’examen de qualification et se dirigea vers Tel-Aviv au sein du Shin Bet. Mais il y a deux jours, tout a radicalement changé.
« Une dame avait besoin d’un service. J’étais occupé avec d’autres clients, mais elle voulait qu’on s’occupe d’elle immédiatement et elle a commencé à crier au racisme. »
L’ancien officier, a expliqué pourquoi il n’a pas supporté cette « insulte intolérable » : toute sa vie il a lutté contre les préjugés sur des motifs ethniques ou religieux, la lutte pour les droits des minorités, et a même écrit des livres et des articles sur ce sujet que l’ont peut trouver sur Google. « Presque immédiatement, après, j’ai reçu un appel du ministère des revendications du ministère de l’Intérieur, rapidement, le fait a été médiatisé sur de nombreux médias israéliens dont le site Wallanews. L’affaire a grossi dans les médias, et Ronis n’a pu le supporter.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :