Selon les premiers rapports, les médecins soupçonneraient que Vladimir Kara-Mourza ait été empoisonné. Dans la soirée, le père de la victime, a réfuté cette information : « les antécédents d’un acte criminel sont exclus ».
Pourtant les médecins ont confirmé un empoisonnement selon le Telegraph : « Un allié de premier plan de la fin critique du Kremlin Boris Nemtsov a été admis à l’hôpital à Moscou après avoir été empoisonné par une substance inconnue, un ami de la famille et militant de l’opposition a déclaré à The Telegraph. Vladimir Kara-Mourza, 33 ans, est tombé malade hier dans les bureaux d’une agence de nouvelles juridiques appartenant à l’État et transporté à l’hôpital. Son état est dit être critique. Les médecins viennent de confirmer qu’il a été empoisonné ».
Ce jeudi matin, le tabloïd en ligne « Utro.ru » a catapulté une nouvelle version: l’hypothèse que Kara-Mourza pourrait avoir prit des antidépresseurs que les médecins américains avait prescrits.
Parmi les symptômes rapportés par les médias, il a eu une forte baisse de la pression artérielle, une insuffisance rénale aiguë et une pancréatite et une double pneumonie, en d’autres termes, la victime a été soudainement frappé sur de nombreuses fonctions vitales.
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