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 » Le récent rapport « Breaking the Silence » est une « propagande sans valeur » à moins que les soldats qui sont derrière ces témoignages révèlent leur identité  » a déclaré l’ancien conseiller à la sécurité nationale israélienne Maj. Gen. (rés.) Yaakov Amidror.

Le rapport, qui a recueilli des témoignages supposés de soldats israéliens qui se sont engagés dans le combat pendant la guerre de 50 jours de l’été dernier entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, est « l’une des plus grandes propagandes … que vous pourriez trouver », a déclaré Amidror, dans une interview avec Algemeiner.

L’ancien conseiller à la sécurité du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a également dirigé le département de recherche de renseignement militaire des Forces de défense d’Israël, a qualifié le rapport de « mal », et dit que l’intention de « Breaking the Silence « est de détruire Israël. »

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Comme le rapport ne comporte pas les noms des soldats qui fournissent des témoignages, Amidror dit que la véracité est impossible à corroborer, mais il a ajouté que si ce sont des soldats qui ont fourni des témoignages, Israël devrait enquêter.

L’ancien conseiller de sécurité nationale, qui, entre autres a dirigé les efforts israéliens pour un rapprochement avec la Turquie en 2010 suite à l’attaque de la flottille du Mavi Marmara et le raid de Tsahal qui a fait neuf morts parmi les turcs a défendu l’engagement des Forces de défense israéliennes dans le dernier conflit avec la bande de Gaza, en disant près de la moitié des blessés dans la guerre de l’été dernier se battaient pour le Hamas. Il a dit que les femmes, qui représente 50 % de la population de Gaza, « étaient moins de 20% de toutes les victimes. »

L’identité des victimes dans la guerre de l’été dernier est l’objet d’un litige avec le Centre palestinien pour les droits de l’homme affirmant environ que 76 % sont morts parmi les civils. Ce nombre s’élève à environ 45 % en Israël.

Amidror a déclaré que le financement de « Breaking the Silence » vient presque exclusivement de l’étranger », en partie de sources arabes. »

Le dernier rapport indique en effet que la majorité de ses principaux bailleurs de fonds sont d’origine étrangère, même si les organisations sont essentiellement européennes.