L’Association des manufacturiers d’Israël (AMI) est l’organe représentatif de tous les secteurs industriels en Israël: privé, public, kibboutz et les industries gouvernementales. Il se compose de plus de 2.000 organisations et des usines industrielles qui sont responsables de plus de 95% de la production industrielle en Israël.
Cette même association a demandé au gouvernement de rejeter le projet de loi qui assure à tous les employés un droit au congés payés de trois semaines à partir de la première année d’embauche.
Ce dimanche, le projet de loi a été présenté par la député, Rachel Azaria, membre de la Knesset pour Koulanu et auparavant adjointe au maire et membre du Conseil Municipal de Jérusalem.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Elle a soumis ce projet pour approbation par le Comité ministériel sur la législation. Le président de l’Union des Industriels Shraga Brosh a écrit que le secteur privé israélien ne pourra faire face à ces coûts énormes: les industriels font valoir que l’extension de cette loi va leur coûter plus de 7,000,000,000 shekels.
Dans une lettre, Brosh a dit que la productivité des travailleurs israéliens est beaucoup plus faible que dans les autres pays développés, et des vacances plus longues risque de réduire encore plus ce taux de productivité.
Les industriels sont aussi contre la version adoucie de la loi, celle d’allonger progressivement les jours fériés de 10 à 21 jours au cours des cinq premières années d’emploi.
Les arguments des industriels sont assez traditionnels: ils prétendent que le droit social a « paradoxalement » frappé les employés, alors comment réduire la compétitivité de l’économie israélienne et sa capacité à créer de nouveaux emplois. Ces arguments contre les droits sociaux des travailleurs existent depuis la fin du 19ème siècle – depuis aussi longtemps que la lutte pour la journée de huit heures.
Le principal obstacle à la croissance de la productivité du travail est juste une abondance de main-d’œuvre à bas salaire qui les privent de leurs droits: dans de telles circonstances, les employeurs sont privés d’incitations pour améliorer l’efficacité de la production grâce à l’innovation technologique.
Israël, étant l’un des leaders dans le développement de nouvelles technologies, mais ne les met pas en œuvre dans leur propre économie.
Nous utilisons des cookies sur notre site Web pour vous offrir l'expérience la plus pertinente en mémorisant vos préférences et vos visites répétées. En cliquant sur « Accepter », vous consentez à l'utilisation de TOUS les cookies.
Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site Web. Parmi ces cookies, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour le fonctionnement des fonctionnalités de base du site Web. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site Web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de désactiver ces cookies. Mais la désactivation de certains de ces cookies peut avoir un effet sur votre expérience de navigation.
Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site Web. Cette catégorie comprend uniquement les cookies qui garantissent les fonctionnalités de base et les fonctions de sécurité du site Web. Ces cookies ne stockent aucune information personnelle.