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Le chef du bureau de Renseignement israélien a affirmé qu’un gardien de la révolution iranien a été exécuté à la fin du mois de Juin ou début Juillet.

L’homme dont le nom de code était Sayed Ahmad Dabiri (46 ans) et dont le vrai nom n’a jamais été révélé, a été soumis à la juridiction militaire des Gardiens de la Révolution, et a été reconnu coupable de fournir des informations à Israël sur les mouvements des commandants militaires iraniens en Syrie, et les armes iraniennes en Syrie, les convois d’armes iraniennes et l’armée syrienne et le Hezbollah au Liban. Les sources affirment que Sayed Ahmad Dabiri a été exécuté par un peloton d’exécution.

Ce gardien de la Révolution est devenu un espion israélien, il est intervenu avant l’attaque de l’armée de l’air israélienne le 18 Janvier de cette année, lors du passage d’un convoi iranien, et du Hezbollah et lors des mouvements syriens près du village de Mazraat Mazraat Amal, à Quneitra.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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L’attaque israélienne a tué un général iranien, l’un des gardiens de la révolution, Mohammad Ali Dadi Allah, ancien commandant des forces iraniennes en Syrie, mais aussi l’officier du renseignement principal du Hezbollah, Ali Al Tabtbabni qui était le principal contact entre le Hezbollah et les Gardiens de la Révolution.

Les Gardiens de la Révolution, le commandant général Ali Jafari, et le commandant de l’Iran au Moyen-Orient et du Golfe, le général Qassam Souleymane ont ordonné immédiatement après le bombardement israélien une enquête en Iran, en Syrie et au Liban dans un effort de trouver la source de la transmission des informations secrètes vers l’intelligence israélienne.

L’enquête a eu lieu en deux étapes. Dans la première étape, il a été décidé de procéder à un contrôle au sein du Hezbollah pour vérifier si les informations du renseignement n’ont pas été transférées en Israël en provenance de Beyrouth.

Deux semaines avant l’attaque israélienne contre ce convoi, le Secrétaire général adjoint Sheikh Naim Qassem avait affirmé que le Hezbollah se battait contre l’espionnage au sein de ses rangs. Seulement en Décembre 2014, le chef adjoint de l’unité 910 a été arrêté, ce qui signifie une méfiance concernant un espionnage pour Israël.

Les sources affirment que ces recherches ont été un succès, et que les services de renseignement des Gardiens de la Révolution ont découvert qui avait passé toutes ces informations, qui n’est nul autre qu’un commandant des gardes révolutionnaires iraniens Sayed Ahmed Dabiri.

Aucune source Israélienne n’a voulu, ni confirmer cette information, ni l’approuver, ni la nier.