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Il y a deux jours, de nombreux membres sur Facebook ont été choqués de voir les images ci-dessus, en effet, la chienne avait un sac en plastique autour de la tête, noyée dans la mer de Natanya.

Suite à ce drame, la police a recherché le responsable et a contacté le propriétaire de la chienne qui s’est justifié en disant :  « Le chien était dans un mauvais état, si je voulais, je pouvais aussi le tuer dans mon jardin, » écrit-il.

Un jour après la publication de la découverte du corps du Labrador, la police a annoncé que le chien n’a pas subi de violence. Mais les images non floutées ont entraîné des malédictions contre le propriétaire qui s’est défendu sur ce même réseau.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

https://infos-israel.news/soutenez-infos-israel-news/

 

« La chienne était en mauvais état, elle ne mangeait plus quoi que ce soit et devait être euthanasiée, alors j’ai voulu lui donner une dernière journée de plaisir,» écrivait-il. « Il y a une piscine dans ma cour privée ; si j’avais voulu, j’aurais pu la tuer ».

Avant qu’elle ne soit euthanasiée, il a voulu lui donner une dernière journée de plaisir avec sa seconde chienne, mais elle s’est noyée ; le temps qu’arrive un secouriste (une demi-heure, car il ne se trouvait pas dans une zone gardée), elle est morte.

Un infirmier sur les lieux du drame a dit . «Aujourd’hui, j’ai travaillais comme infirmier à la plage de Netanya, une femme en panique est venue à moi et m’a dit qu’une personne mettait de force une chienne Labrador dans la mer et a enroulé sa tête avec un sac en plastique, en essayant de la noyer ».

Après l’incident, les employés de la municipalité de Netanya ont placé la carcasse de la chienne sur la plage, mais peu de temps après, elle a été enlevée par des bénévoles qui l’ont amenée à la morgue pour une autopsie. Grâce à une puce implantée dans le chien, la police de Netanya a retrouvé le propriétaire et l’a interrogé.

Les policiers ont décidé après investigation que l’homme est innocent, et ils l’ont relâché.