Selon son frère, il n’a plus besoin de continuer sa grève de la faim, car il n’est plus considéré comme un prisonnier suite à la décision de la Cour Suprême d’annuler la détention administrative.
Il a dit sur la radio israélienne Glatz : » Mohamed Allan n’est maintenant plus un détenu, et il ne fait donc plus la grève de la faim, c’est un patient libre qui se trouve à l’hôpital pour un traitement ».
En raison de son état de santé, il faudra attendre deux semaines pour qu’il puisse s’alimenter par lui même. D’ici là, Allan reste en danger.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Israël s’est préparé, au cas où il mourrait, en plaçant des dômes de fer dans le sud du pays, comme Ashdod et Ashkelon. Ce soir, quatre roquettes ont été envoyées dans le nord du pays.