La liberté d’expression à l’université de Tel Aviv selon le Président Joseph Klepter concernant la Naqba
Voici une citation du président de l’université de Tel Aviv, Joseph Klepter, en ce qui concerne la célébration au sein de son université pour la journée de la Naqba , la journée qui commémore la «tragédie» de la création de l’Etat d’Israël.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
L’université est fière du fait que pendant de nombreuses années, elle a permit aux étudiants de toutes les orientations d’organiser des événements politiques, tant qu’ils sont légaux et aussi longtemps que les organisateurs veilleront à ce qu’il n’y est pas d’incitation à la violence ou du racisme lors de l’événement, et que les cours d’études à l’institution ne soient pas perturbés.
Il continu ensuite en citant la célèbre citation de Voltaire : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire. »
Mr Klepter connait il les concepts occidentaux de liberté d’expression?
Permettez-moi de le raccourcir en deux petits points:
1. La liberté d’expression signifie le droit de dire quoi que ce soit, du moins aussi longtemps que cela ne pose pas un danger clair et présent pour la vie des autres. ( la journée de la Nakba en Israel a entrainé de nombreux affrontements contre l’armée et des jets de pierres sur les civils israéliens.)
2. La liberté d’expression ne comprend pas le droit d’imposer au gouvernement de payer pour cette « liberté d’expression ». Cela signifie que dans une université parrainée par l’État qui n’a pas à autorisé des événements au cours de laquelle l’existence de l’Etat est pleurée comme une tragédie, cette manifestation ne devrait même pas existé.
Cela signifie que le droit d’Israël de révoquer le financement du gouvernement financés par les institutions qui parrainent des manifestations commémorant la Naqba est totalement en harmonie avec la pensée politique occidentale. Un gouvernement n’est pas tenu de financer sa propre disparition.
Si l’Université de Tel Aviv veut encore profiter du financement de l’Etat et fêter la Nakba. il faudrait que le Dr Klepter partisan « de la liberté d’expression » organise ses manifestations hors des frontières d’Israël…
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