La police allemande a enquêté suite à des agressions contre les femmes de la part de musulmans dans plusieurs villes européennes, et l’Office fédéral allemand de police criminelle a confirmé que le « jeu de viol» arabe « Taharrush » est arrivé en Europe.
En plus des événements de Cologne, les services de la police de Berlin, Hambourg, Bielefeld, Francfort, Düsseldorf et Stuttgart ont rapporté des incidents similaires. En outre, la police de Vienne et de Salzbourg en Autriche et en Suisse à Zurich ont sonné l’alarme au sujet des agressions de masse similaires à l’encontre des femmes par les migrants arabes nouvellement arrivés. Aussi la Suède et la Finlande ont connu la même chose le jour de la Saint-Sylvestre.
« Les attaques vont de sévices sexuels jusqu’au viol », affirme le chef du BKA, Holger Münch.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Le «jeu du viol» Taharrush est organisé par une grand groupe d’hommes arabes (jusqu’à 1000 hommes parfois) qui entoure leur victime, généralement une femme occidentale ou une femme portant des vêtements de style occidental, puis les femmes sont soumises à des abus sexuels.
Ils entourent la victime dans des cercles. Les hommes dans le cercle intérieur sont ceux qui abusent physiquement de la femme, le cercle à côté sont les spectateurs, alors que la mission du troisième cercle est de distraire et détourner l’attention de ce qui se passe.
Si il y a assez d’hommes, la femme est traînée par la foule, tandis que les hommes se relaient déchirant ses vêtements, la tripotant, et en insérant les doigts dans ses différents orifices du corps.
« le jeu Taharrush » est reconnu en Egypte et ces foules égyptiennes ont pratiqué le « taharrush » pendant la révolution de 2011 qui a renversé le président Hosni Moubarak, avec des formes plus violentes comme le viol pendant les troubles de masse sur la place Tahrir.
Jusqu’à présent, le nombre d’affaires criminelles déposé auprès de la police de Cologne a augmenté de 40 pour cent avec plus des 514 agressions sexuelles déjà prises en compte. La police locale a déclaré que 19 suspects sont sous enquête, tandis que la police de Hambourg enquête sur 133 cas relatifs à des agressions lors des célébrations du Nouvel An dans le quartier St. Pauli.
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