L’organisation « Breaking the Silence » et le Meretz ont annoncé qu’ils tiendront un événement à l’Université de Tel-Aviv dimanche prochain, dans lequel ses membres liront les témoignages de soldats pour mettre en valeur les crimes allégués et le comportement immoral de la part de l’armée israélienne.
En réponse, les étudiants associés avec le parti du Likoud et Im Tirtzu qui ont aussi demandé l’autorisation d’organiser une contre-manifestation et lire des témoignages mettant en évidence l’éthique des soldats ont été interdits d’entrer.
Étonnamment, le doyen des étudiants a répondu laconiquement: « L’événement ne sera pas autorisé à cette date », sans autre explication fournie. Au lieu de cela, elle a suggéré qu’ils pourront manifester à une autre date.
Le chef de la branche de l’université du Likoud, Hodaya Shahar a vivement critiqué la décision de l’université. « Sous les auspices de la liberté d’expression, le doyen des étudiants, le professeur Tova Yoter, permet aux étudiants avec le Meretz et le groupe de gauche radicale « Briser le silence » d’organiser des événements, alors pourquoi ne permet-il pas également des événements organisés par le Likoud et d’autres groupes d’extrême-droite ? Y a-t-il une liberté d’expression que d’un seul côté de la carte politique à l’Université de Tel-Aviv? »
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :