Cette histoire émouvante montre que chaque action que nous faisons est dictée par le Maître du Monde. Un jeune ado israélien qui avait très chaud cet été a cherché un moyen de se rafraîchir dans un endroit climatisé et il est entré dans un centre médical pour s’inscrire sur la base de données de moelle osseuse de Ezer Mizion, cherchant à gagner du temps, pour rester le plus longtemps au frais.
Sans le savoir, cet examen va sauver un enfant de 9 ans atteint de leucémie.
Lors de l’été 2010, un échantillon a été prélevé à partir de ce jeune adolescent pour être inclus dans le Registre de donneurs de moelle osseuse international de Ezer Mizion. Tout ce qu’il voulait en fait, fut le bonheur de passer quelques minutes dans l’air conditionné en ce jour exceptionnellement chaud dans le pays.
Deux ans plus tard, il a été convoqué d’urgence et le centre l’a informé qu’il était compatible avec la moelle osseuse d’un patient particulier. Lorsque le temps est venu pour le don réel, il avait déjà commencé à comprendre que son action qui était au début un intérêt personnel, devenait aujourd’hui une cause bien plus grave : celle de sauver une vie.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Au printemps 2012, le jeune enfant de sept ans G. a été diagnostiqué avec une leucémie. Après deux cycles de traitements, la conclusion était que la seule chose qui pourrait apporter un remède suite à cette maladie après des traitements éprouvants, était une greffe de moelle osseuse. Aucun de ses parents se sont révélés être compatible. Tout espoir pour la vie de l’enfant était presque perdu. Seul un don d’un donneur non apparenté était approprié et pouvait le sauver.
Pour qu’une greffe ait les meilleures chances de succès, le donneur et le receveur doivent avoir un phénotype génétique similaire. Nous trouvons cela chez les personnes de la même origine ethnique. Tel est le grand cadeau donné aux membres du peuple juif, ce qui leur permet d’exprimer de la manière la plus active et tangible que « Tous les Juifs sont garants l’un de l’autre ».
Le jeune homme qui vit dans le sud a accepté de faire un don. Les parents du jeune enfant chantaient et pleuraient au téléphone quant ils ont entendu la merveilleuse nouvelle !
Le droit international ne permet pas de donner l’identité du donneur et du receveur à la connaissance de l’un et de l’autre. Pendant deux ans, E. a éveillé sa curiosité. Depuis deux ans, les parents de petits G, ont aussi manifester leur désir d’exprimer leurs remerciements.
Et puis, dans le hall de Oranit-Ezer Mizion à Petach Tikvah, avec trois ballons et un gâteau, E., le jeune impliqué a rencontré G., l’enfant sain et sauf qui a reçu la vie. Ils sont venus l’un vers l’autre, et se sont serrés fort l’un contre l’autre.
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