Le FLNC fait reparler de lui, et annonce un «message à l’État français» en cas de risque d’attentat sur la Corse : «si un drame devait se produire chez nous (…), (vous aurez) une part importante de responsabilité».
Le FLNC ajoute «avoir permis au mois de juin de déjouer un attentat sur notre territoire dans un lieu fréquenté par le public».
Ajoutant : «La volonté des salafistes est clairement de mettre en place chez nous la politique de Daesh et nous nous y sommes préparés. Votre philosophie moyenâgeuse ne nous effraie pas. L’amalgame n’existe que dans l’esprit des faibles et le peuple corse est fort (…) de choix politiques difficiles qui ne nous ont jamais fait basculer comme vous dans la barbarie».
S’adressant, plus généralement «aux musulmans de Corse», le Front les appelle aussi à «prendre position» en dénonçant l’islamisme radical. Il leur demande notamment de signaler «les dérives chez des jeunes désœuvrés tentés par la radicalisation» et de ne pas «afficher de signes religieux ostentatoires».
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :