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Les découvertes archéologiques appuient maintenant les revendications bibliques.

Le Prof. Aren Maeir, un expert sur la période du Premier Temple-du ministère de la Terre d’Israël et des études d’archéologie de l’Université Bar Ilan, a dit :

« Du point de vue historique et chronologique, nous parlons de l’année 586 avant notre ère, lorsque Jérusalem fut détruite. Il y a des comptes du siège de Jérusalem. Dans le quartier juif, il y a une tour qui est une fortification Israélite sur laquelle vous pouvez réellement voir les flèches que les Babyloniens ont tiré sur le royaume de Judée et comment  les soldats de la Judée-Uni ont riposté. Il y a une différence entre la flèche de Babylone et la flèche de Judée.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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« Des preuves ont également été trouvés dans des fouilles dans la Cité de David, qui  date de la veille de la destruction. Tout au long du royaume de Judée à la fin de l’âge du fer avant la destruction de Jérusalem, nous avons des preuves de la présence de quelques autres sites qui ont la couche de la destruction. »

« Alors que la destruction du premier Temple est décrite en détail dans la Bible, la destruction du second ne l’est pas, et la plupart des informations viennent de l’historien Flavius Josèphe. Les preuves archéologiques découvertes semble également soutenir ces informations « .

Le Prof. Boaz Zissu, le chef du Département des Terres d’études israéliennes et d’Archéologie de l’Université Bar Ilan et un expert sur la deuxième période du Temple, il a dit: «Les découvertes archéologiques soutiennent, complètement, ce que nous apprenons de Josephus. »

Il a continué, « A Jérusalem, lorsque vous creusez dans la zone du quartier juif et supprimer les couches plus anciennes, vous arriverez à la destruction complète. Vous trouverez des maisons qui sont parfois brûlées avec leurs habitants à l’intérieur, ou les restes de leurs résidents. L’une des découvertes les plus excitantes est un bras coupé, qui a été trouvé à proximité d’une lance.

« Dans une structure qui a été détruite dans un incendie en l’an 70 CE, nous avons trouvé des pièces de monnaie que les rebelles eux-mêmes ont frappées à Jérusalem avec l’écriture en hébreu … Au pied du Mur occidental, une rue a été découvert qui avait des restes de la destruction du Temple.

« Il y a aussi beaucoup de preuves en Galilée. En Yodfat et Gamla, la preuve de la présence d’un siège, de la destruction, des combats. Les résultats ici sont sans équivoque. Si nous allons vesrs des  forteresses dans le désert, dont Massada est un exemple très célèbre, et idem pour Hérodion, qui parle de l’histoire de la révolte de Bar Kochba.

« Alors Josephus parle de 1.100.000 décès à la suite de la Grande Révolte. Nous avons appris le résultat de la révolte de Bar Kokhba d’une source romaine, Cassius Dio. Il donne  un certain nombre de 580.000 Juifs qui ont été tués en un seul combat s. Mais il ne compte pas la population civile à la fin de la révolte de Bar Kokhba, il parle de 985 villages ou villes et 50 forteresses. L’archéologie nous apprend que ces chiffres venant des dossiers de Cassius Dio sont apparemment digne de confiance  »