Un garçon de 17 ans et demi qui nâa pas Ă©tĂ© vaccinĂ© a contractĂ© corona, et ensuite le syndrome de Pims*. Il est maintenant hospitalisĂ© dans un Ă©tat critique tout en Ă©tant connectĂ© Ă une machine Acmo comme lâa rapportĂ© le journaliste de News 12 Yoav Even.
Les mĂ©decins qui lâont soignĂ© Ă Assuta Ashdod ont dĂ» pratiquer la RCR sur lui, affirmant quâil sâagissait de lâun des cas de Pims les plus difficiles jamais vus en IsraĂ«l â son cĆur sâest presque effondrĂ©, ainsi que ses poumons, ses reins et son systĂšme sanguin.
Il sâagit dâun garçon non vaccinĂ© qui, selon le personnel de lâhĂŽpital, ses parents ont refusĂ© de faire un test corona standard Ă lâhĂŽpital Ă lâaide dâun coton tige. Ce nâest que lors des tests sanguins, aprĂšs avoir dĂ©couvert que le garçon Ă©tait infectĂ© par le virus, que les mĂ©decins se sont rendu compte quâil se remettait dâune maladie coronarienne, dont il aurait probablement Ă©tĂ© Ă©pargnĂ© sâil avait Ă©tĂ© vaccinĂ©.
Ce nâest pas le premier cas en Israel, Orin Raz (17 ans), un Ă©tudiant de 12 ans de Pisgat Zeâev, a Ă©tĂ© hospitalisĂ© au mois de mars dans un Ă©tat critique dans lâunitĂ© de soins intensifs pĂ©diatriques de Hadassah Mount Scopus, un mois aprĂšs sâĂȘtre remis de Corona â en raison dâun syndrome inflammatoire aigu PIMS qui apparaĂźt aprĂšs le Corona, en particulier chez les enfants.
Hadassah prĂ©vient quâil sâagit du 35e cas diagnostiquĂ© chez eux, alors que jusquâĂ prĂ©sent dans le pays, environ 50 cas du syndrome grave et potentiellement mortel. Les pĂ©diatres notent que le traitement prĂ©coce du syndrome sâest avĂ©rĂ© efficace et quâĂ la lumiĂšre de lâouverture gĂ©nĂ©ralisĂ©e du systĂšme Ă©ducatif, ils souhaitent mettre lâaccent sur les symptĂŽmes de la maladie, alors que chez les enfants, on ne sait souvent pas quâils Ă©taient malades du corona.
Dana, la mĂšre dâOrin, dit quâelle ne se doutait pas du tout que les symptĂŽmes dont souffrait sa fille Ă©taient liĂ©s au virus corona dans lequel elle avait Ă©tĂ© infectĂ©e un mois plus tĂŽt, de maniĂšre trĂšs lĂ©gĂšre. « Nous sommes tous tombĂ©s malades, nous, les parents, Ă©tions dans un Ă©tat pire mais Orin lâa eu mais avec peu de symptĂŽmes. Elle souffrait de maux dâestomac et de fiĂšvre. JâĂ©tais sĂ»re quâelle ne souffrait que de quelque chose liĂ© au systĂšme digestif. Mais comme la douleur sâintensifiait, le syndrome a Ă©tĂ© diagnostiquĂ© et elle a Ă©tĂ© hospitalisĂ©e dans une unitĂ© de soins intensifs trĂšs sĂ©vĂšres. »
« Aujourdâhui, elle se sent un peu mieux, se remet un peu et peut se lever et marcher â mais toujours trĂšs faible et la couleur nâest pas revenue sur son visage. « Ce syndrome est grave, vaccinez vous et nâĂ©coutez pas les bĂȘtises qui sont publiĂ©es en ligne contre les vaccins par des gens qui ne le comprennent pas du tout. Câest un danger pour la vie », a-t-elle ajoutĂ©.
*Syndrome inflammatoire multisystĂ©mique : câest quoi le MIS-C ou PIMS ?
Cette maladie reste rare. PIMS dĂ©signe (en anglais) le « Pediatric Inflammatory Multisystem Syndrom » pour « Syndrome inflammatoire multisystĂ©mique pĂ©diatrique » et le MIS-C « Multisystem Inflammatory Syndrome in Children » pour « Syndrome inflammatoire multisystĂ©mique de lâenfant ». Ces deux termes similaires caractĂ©risent une maladie inflammatoire rare qui touche les enfants et les trĂšs jeunes adultes.
RĂ©daction francophone Infos Israel News pour lâactualitĂ© israĂ©lienne
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