Dans la ville de Cannes sur la Côte d’Azur, un homme armé d’un couteau a tenté de tuer un policier. Il s’est approché d’une voiture de fonction, qui se trouvait près du poste de police, et s’est tourné vers le policier, voulant apparemment obtenir des informations. Lorsque les forces de l’ordre ont ouvert la porte, l’homme a sorti un couteau et l’a poignardé à trois reprises dans la poitrine. Le policier a été sauvé par son gilet pare-balles : il n’a reçu qu’une légère blessure.
Après cela, l’agresseur a couru de l’autre côté de la voiture et a tenté de poignarder son collègue avec un couteau, mais a été neutralisé à temps avec un coup de pistolet.
Un homme a agressé à l’arme blanche des policiers à proximité du commissariat central de Cannes. Un des agents a répliqué avec son arme à feu. Il n’y a pas de décès et les circonstances de l’attaque sont en train d’être élucidées. Soutien total à nos forces de l’ordre.
— David Lisnard (@davidlisnard) November 8, 2021
Le terroriste grièvement blessé a déclaré avoir agi au nom du prophète Mahomet.
Le journal Le Figaro rapporte que l’identité de l’agresseur a été établie : il s’agit de Lakhdar B., né en Algérie en 1984. Il avait un permis de séjour délivré en Italie.
ENCORE des policiers attaqués par un terroriste.
Nos collègues à Cannes doivent leur survie, l’un à son gilet pare-balles, l’autre à la riposte armée de son coéquipier.
Pourquoi cibler ceux chargés de la sécurité d’autrui ? Car les auteurs sont biberonnés à la haine anti-police.— Linda Kebbab (@LindaKebbab) November 8, 2021
Une source proche de l’enquête a déclaré au journal qu’ « une version terroriste du crime est plus que probable ».
Le thème de l’immigration en provenance des pays musulmans et d’Afrique noire sera l’un des plus discutés avant les élections présidentielles en France, qui se tiendront en avril. L’essayiste Eric Zemmour, l’un des principaux candidats à la présidentielle, a fait de la question de l’interdiction de toute forme d’immigration dans le pays (y compris par le biais du regroupement familial) un enjeu majeur de son programme électoral. Selon un sondage réalisé hier, 17 % des personnes interrogées sont prêtes à voter pour lui, et si il passe au second tour, 25 % ont l’intention de voter pour le président Macron.
