Tsahal a mené une vaste opération contre environ 100 pick-ups Toyota qui avaient été utilisés lors de l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre. Avant les frappes, l’armée israélienne a averti la population locale de ne pas s’approcher de ces véhicules.
Une opération ciblée contre l’infrastructure du Hamas
Ce lundi, l’armée israélienne a frappé une centaine de véhicules, principalement des Toyota, ayant participé au massacre du 7 octobre. Selon une chaîne Telegram palestinienne affiliée au Fatah, plus de 100 pick-ups et minibus appartenant au Hamas ont été détruits.
Les groupes terroristes à Gaza, en particulier le Hamas, utilisent ces véhicules non seulement pour des attaques, mais aussi pour leurs démonstrations de force, notamment lors des mises en scène des libérations d’otages.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Jusqu’à présent, Israël se félicite du bilan des frappes, qui ont permis d’éliminer plusieurs dizaines de combattants du Hamas, selon les premières estimations. Dès le début de l’opération, l’armée de l’air israélienne a ciblé simultanément plusieurs regroupements de terroristes. L’évaluation actuelle suggère que le Hamas a subi un choc stratégique et tente de se réorganiser, notamment en exploitant des infrastructures civiles comme des écoles pour dissimuler ses forces.
Pression sur le Hamas et contrôle de la population
L’opération vise non seulement à affaiblir la capacité militaire du Hamas, mais aussi à accentuer la pression sur l’organisation pour qu’elle accepte de nouvelles négociations en vue de la libération d’otages. Cependant, des sources palestiniennes indiquent que, malgré ces frappes, le Hamas maintient un contrôle strict sur la population de Gaza.
Des vidéos divulguées récemment montrent des hommes masqués, appartenant aux forces de sécurité du Hamas, imposant par la force des taxes de protection aux commerçants de Khan Younès.
Des pertes significatives pour le Hamas
Depuis le début de l’opération, cinq membres du bureau politique du Hamas ont été éliminés, ainsi que des commandants de haut rang, dont le chef adjoint de la brigade de Gaza. Cette stratégie vise à affaiblir les capacités opérationnelles de l’organisation et à réduire son influence dans la bande de Gaza.
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