Les juifs francais ont le choix entre la peste et le cholera, même si Bardella est avec les juifs depuis peu et que Marine Le Pen etait au bal des Waffens, il y a des années et que tout le monde sait que le RN est l’enfant caché du FN. Les juifs de France n’ont pas d’autre choix que de ne pas voter pour la nouvelle union entre Macron et Mélenchon, le même qui a misé toute sa campagne électorale en France, contre Israel et pour le Hamas !

Macron et Mélenchon travaillent actuellement pour un front pour empêcher les candidats de l’« Union nationale » de Marine Le Pen et Jordan Bardella de réaliser le potentiel électoral exprimé au premier tour des élections nationales – 33%.

Le système des élections régionales à deux tours le permet. La logique est la suivante :

Dans chaque circonscription électorale où le candidat d’extrême droite n’a pas atteint plus de 50 %, il existe potentiellement une majorité qui pourrait contrecarrer son élection au second tour, si seulement les candidats désespérés annulaient leur candidature et que tout le monde donnait son vote au candidat du camp « Seulement pas Le Pen » ».

L’agence Reuters rapporte que le président Macron a déclaré hier soir, devant les ministres du gouvernement réunis à huis clos, que le confinement de « l’Union nationale » (RN) était une priorité absolue, et a terminé ses propos par le mot: « A l’attaque! ». Une source proche du dossier a expliqué qu’il s’agissait de confirmer qu’un accord de vote tactique pourrait également s’appliquer aux candidats de LFI – le parti « La France insoumise » de Jean-Luc Mélenchon – au cas par cas.

Cependant, dans une interview aujourd’hui, le ministre des Finances Bruno Le Maire, allié de Macron, a exclu la possibilité que le centre aide les candidats LFI à se faire élire dans n’importe quelle région. « Pour moi, la France Insoumise est un danger pour la Nation, tout comme l’Union Nationale est un danger pour la République », a-t-il déclaré à la radio France Inter.

Tous les candidats au second tour doivent annoncer mardi soir s’ils ont l’intention de démissionner ou de se présenter au second tour.

L’Union nationale ressent une pression suite à ce blitz politique. Le président de l’Union, Jordan Bardella, a ironiquement qualifié l’organisation de centre-gauche de « nouveau-nouveau front populaire ». C’est un jeu de mots puisque le nom de l’alliance de gauche est le « Nouveau Front populaire ». Bardella a également tweeté et rappelé au président qu’il y a seulement deux semaines, Macron affirmait que LFI était embourbée dans l’antisémitisme et l’antiparlementarisme. « Comment les électeurs d’Emmanuel Macron pourront-ils voter avec respect pour une telle extrême gauche » ?