Une de nos rédactrice a découvert un post d’une grande simplicité et très intéressant sur les réseaux sociaux avec la question suivante :

Pourquoi la communauté Franco-israélienne a du mal à s’intégrer en     Israël ? 
J’attends vos réponses

Pour respecter la confidentialité de son auteur et des répondants, nous avons fait une liste de points forts afin de donner une idée globale des failles et progrès de cet alya, à la disponibilité des députés franco-israéliens qui ont tendance à oublier certains détails de l’Alya française :

  • Le français est nostalgique et reconnaissant envers son pays de naissance.
  • L’apprentissage de la langue en hébreu est une grande difficulté pour les Français
  • Manque de vie sociale et recherche d’un noyau communautaire
  • Difficulté à accepter la mentalité anglo-saxone bien différente de l’européenne.
  • Garder ses liens professionnels avec la France
  • Préférer les lieux de travail exclusivement francophone en Israël
  • Les Français sont habitués au système social français inexistant en Israël
  • Le Français pense qu’Israël les attend
  • Le manque de validité des diplômes Français en Israël
  • Retenir ce qu’Israël ne peut pas vous donner, oubliant tout le reste
  • Continuer à regarder la télévision française en Israël
  • Cessez de dire après 10 ans d’Alya, « ces israéliens ». Vous êtes israélien !
  • L’âge auquel on fait l’alya évalue aussi et les difficultés ne sont pas les mêmes à 18 et 50 ans
  • Etre prêts à réduire son train de vie en arrivant en Israël
  • Le Français est un râleur invétéré
  • La francophonie religieuse enseigne la fatalité et non la réussite et la prospérité.
  • La vision du judaïsme du Français est en décalage avec la réalité israélienne
  • Avoir la volonté réelle et sincère de s’intégrer en Israël

Ce sont une majorité des réponses que nous avons résumé, cela ne veut pas forcement dire que nous sommes d’accord mais cette liste pourrait aider les politiciens trop occupés à la Knesset à parlementer.