Vous avez probablement entendu de nombreuses personnes récemment crier ou hurler à propos des Fake News. Les accusations fusent de tous les points du spectre politique : cette histoire est erronée – ce ne sont que des Fake News ; cette déclaration est fausse – c’est une Fake News.

Mais à mon avis, ces arguments passent à côté de la question. Les news Françaises dominantes sont toutes fausses parce que les principaux organes de presse sont tellement biaisés vers la gauche. Tout article qu’ils rapportent factuel ou non, leur reportage est essentiellement de la propagande gauchiste.

Les chaines de télévision France2, BFM, France24, LCI, France3, France5, M6, I24 contrôlent à elles seules 90% de l’info télévisuelle – 80% de la presse radiophonique est contrôlée par la gauche (France-info, France-inter, France Cuture, Rfi, Rmc, Europe1…)

Et je ne parlerais pas du secteur de la presse écrite qui regroupe environ       2 200 entreprises qui emploient 80 000 salariés dont 25 000 journalistes, qui éditent environ 9 000 titres et qui bénéficient depuis des décennies de l’état d’aides indirectes, sous la forme de mesures fiscales, et des aides directes, aux objectifs très variés. Si les aides à la presse écrite sont fréquentes dans beaucoup de pays, la France a le niveau le plus élevé en Europe avec près de 400 M€ par an. Donc pas si indépendants que ça la presse écrite.

L’état Français intervient aussi et largement dans le financement de l’audiovisuel.

Ou de l’AFP qui arrose quotidiennement ses abonnés de mensonges anti Israéliens. le pouvoir surdimensionné des médias constitue un danger majeur pour les Français.

L’attitude des médias envers Israël et les Juifs, au cours de ces deux dernières décennies a démontré qu’ils ont le pouvoir de pervertir l’information, l’analyse, le débat et l’esprit critique.

Moins de dix pour cent des journalistes Français s’identifient de droite. Les journalistes affirment que malgré le fait qu’ils sont tous gauchistes, ils peuvent être objectifs. Mais ce n’est pas le cas. Chaque jour il n’y a pas un seul média qui ne ment pas sur Trump. Et vous savez pourquoi ? Le succès de Donald Trump révèle une faiblesse effrayante dans les médias.

Dans les années 1960, l’univers médiatique se composait principalement de quelques chaînes de télévision nationales et de radio nationales, dont la plupart tiraient leurs « nouvelles » des principaux services de presse et des grands journaux du pays.

La plupart des journalistes étaient engagés à produire des reportages journalistiques «objectifs» indépendants du gouvernement et des partis politiques. Le travail d’un journaliste consistait à rapporter, non à offrir une opinion ou jouer l’avocat. Présenter les faits, c’était aux lecteurs de faire leurs propres jugements sur les événements d’actualité. Les opinions étaient censées se limiter aux pages éditoriales. Ce monde n’existe plus. Ce manque d’objectivité et le déclin des normes sont l’une des raisons, bien que n’étant pas la seule, des raisons pour lesquelles les journaux et les magazines d’information sont en déclin.

Insérer une opinion, même au milieu d’un article, est une façon pour les journalistes de se distinguer. Et dans les médias traditionnels, ces opinions ont tendance à être largement de gauche. Cela pourrait ne pas être si mauvais si les journalistes reconnaissaient leur partialité. Mais ils ne le font presque jamais. Pourtant, le biais est évident.

Les médias et journalistes expérimentés commettent le genre d’erreurs qui ne seraient pas tolérées dans les écoles de journalisme. Lorsque ces erreurs sont rarement corrigées, c’est toujours avec peu de regret. Et elles sont nombreuses.

Les psychologues ont démontré que lorsque les gens s’associent presque exclusivement avec ceux qui sont d’accord avec eux, ils souffrent de la pensée de groupe et du biais de confirmation et perdent leur capacité à voir clairement les événements.

Ce qui revient à dire plus clairement que ces journalistes sont des menteurs et surtout malhonnêtes – Leur parti pris fausse leurs rapports de manière très spécifique.

Permettez-moi de vous présenter les trois règles du journalisme médiatique traditionnel.

Ceux-ci peuvent transformer n’importe quelle histoire, qu’elle soit vraie ou fausse, dans du Fake News.

Leur but n’est pas d’informer, mais d’influencer le débat public en y distillant leurs thèses – souvent de gauche ou anti Israéliennes.

Deux simples exemples :

  • l’affaire Al Dura de France 2 en septembre 2000
  • la couverture Libération pour la fausse photo publiée le 30 septembre 2000.

Règle numéro un :

Chaque fois que les préjugés de gauche sont confirmés par un seul événement, cet événement est considéré comme un incident isolé – et si vous le considérez comme représentatif, vous êtes qualifié de haineux ou membre de la facho-sphère. Et je sais de quoi je parle.

Ainsi, par exemple, un policier blanc qui tire sur un suspect arabe. Les médias dominants traitent cette histoire comme étant représentative du racisme général de la police, même si des études montrent que les policiers n’utilisent pas la force mortelle plus souvent sur les arabes que sur les Blancs.

D’un autre côté, si un musulman commet un acte de terrorisme et que quelqu’un a l’audace de souligner que l’acte terroriste est, en fait, représentatif des actes quotidiens de terreur musulmane dans le monde, cela est considéré comme islamophobe.

Règle numéro deux :

Quand un scandale éclate à droite, la nouvelle devient un scandale. Quand un scandale éclate à gauche, la nouvelle est : qui a divulgué à tort cette information scandaleuse ? C’est du Fake news.

Le compteur de scandales est fortement pondéré pour tomber à droite et produire du fake news. Les journalistes le savent, ils sont payés pour ça.

Règle numéro trois :

Les extrémistes de droite sont mis en évidence, mais l’extrémisme global de la gauche est quasiment ignoré.

Les médias dominants ont presque toujours raison sur leur récit de gauche, que les faits le soutiennent ou pas. Cela s’appelle confirmer vos propres préjugés. C’est ce qu’on appelle le biais (se dit de quelque chose qui est déformé, fallacieux, détourné de son but originel : Débat biaisé.)
Ça s’appelle Fake News.

En 2010, une enquête a révélée que les Français n’ont plus confiance dans les médias. Depuis l’arrivée d’internet, les médias traditionnels deviennent malades et je m’en réjouis.

Si la France veut faire la chasse aux Fake News, il n’est pas besoin de chercher très loin qu’elle commence par les médias qu’elle engraissent.